Message personnel

{chanté:}
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
 
{parlé:}
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t’aime peut-être
 
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.

Seras-tu là ?

Et quand nos regrets viendront danser
autour de nous nous rendre fous
Seras-tu là ?

Pour nos souvenirs et nos amours
Inoubliables inconsolables
Seras-tu là ?

Pourras-tu suivre là ou je vais ?
Sauras-tu vivre le plus mauvais ?
La solitude le temps qui passe
Et l’habitude regardes-les
Nos ennemis dis-moi que oui
Dis-moi que oui

Quand nos secrets n’auront plus cours
Et quand les jours auront passé
Seras-tu là?

Pour, pour nos soupirs sur le passé
Que l’on voulait que l’on rêvait
Seras-tu là?
Le plus mauvais
La solitude le temps qui passe
Et l’habitude reqardes-les
Nos ennemis dis-moi que oui
Dis-moi que oui?
Là ???
Seras-tu là ?
Seras-tu là ???

Vivre avec Toi

  Chez moi il y a des rêves qui nont pas vu dehors
De la poussière qui vole quand je claque la porte
Un coeur qui sest brisé
Dans ma chambre des photos pas décrochées
Qui commencent à jaunir à ne plus rien me dire
A croire qu’elles ne m’ont pas vu grandir

Refrain : Mais vivre avec toi, C’est tout ce qu’il me faut,
C’est ma vie qui soudain va changer de peau,
Vivre avec toi, j’en ai rêvé,
C’est comme si jamais je n’avais existé avant toi;


N
e plus marcher seul, juste vivre avec toi

Jai laissé entre tes mains mes souvenirs
T
oi seul peut en prendre soin à lavenir
Moi qui n’ai jamais pris le temps d’aimer

Refrain
Ne plus marcher seul, mes peurs je les laisse en arrière
J’ai quelquun qui croit en moi, mes regrets mes colères
To
ut se calme quand je suis avec toi, mes peurs je les laisse s’en aller

Refrain
J
uste vivre avec toi, juste vivre avec toi

En moi il y a desves qui n‘attendaient que toi...

La ronflette

 
Ça commence d’abord par un tout petit bruit.
Un doux frémissement, un léger friselis.
Puis petit à petit, ça enfle crescendo.
L’heureux mortel qui dort, bien à plat sur le dos,
Respire un peu plus fort, sa poitrine se gonfle,
Sa bouche se détend, et c’est parti….il ronfle !

Son aimable moitié, allongée près de lui,
Elle bien éveillée, ainsi que chaque nuit,
Croit pour y remédier avoir tout essayé.
Les soupirs éloquents, les coups dans l’oreiller,
Le corps sur le côté, le nez pincé, les gifles,
Alors, à bout de nerfs, excédée, elle siffle !

Ça s’arrête un moment .Mais bientôt, ça repart.
Et la pauvre victime, épuisée, l’œil hagard,
N’a pas d’autre recours, afin d’y échapper,
Que d’aller au salon choir sur le canapé.
Cependant qu’au dehors se lève le soleil,
Elle sombre à son tour dans un profond sommeil.

C’est alors que l’époux, frais et dispos déjà,
La réveille et lui dit : « Mais que fais-tu donc là ?
Pourquoi, ma douce amie, faire ainsi chambre à part ?
Aurais-tu fait, dis-moi, un vilain cauchemar ?
Quant à moi, je n’ai pas dû bouger de la nuit.
Si tu savais, chérie, comme j’ai bien dormi.

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