Quand je manque de toi

Je peux laisser derrière
Ces nuits artificielles
Noyées de lumiere
Où plus rien n’est réel
Sans hésiter.
Je connais la valeur
De ces gloires fragiles
Où on vit le meilleur
Puis le plus difficile
Je peux m’en passer

Mais quand
Je manque de toi
Je manque de tout
De mon sang, de mes forces
Ma peau, mon écorce
Mon souffle de vie
Quand
Je manque de toi
Je manque de tout
De mon air, de mon ciel,
De tout l’essentiel
Qui remplit ma vie

Je pourrais ignorer
Ces regards de déesses
Qui savent bien cacher
Ce qui les interesse
Sans un regret.
Je pourrais arrêter
Ma course et mes combats
Si un jour je sentais
Qu’ils m’éloignent de toi
Je le ferais.

Mais quand
Je manque de toi
Je manque de tout
De mon sang, de mes forces
Ma peau, mon écorce
Mon souffle de vie
Quand
Je manque de toi
Je manque de tout
De mon air, de mon ciel,
De tout l’essentiel
Qui remplit ma vie

{Instrumental + choeurs}

Quand
Je manque de toi
Je manque de tout
De mon sang, de mes forces
Ma peau, mon écorce
Mon souffle de vie
Quand
Je manque de toi
Oh je manque de tout
De tout l’essentiel
Qui remplit ma vie
Quand
Je manque de toi
C’est toi l’essentiel
Tu remplis ma vie
Je manque de toi
Je manque de toi.

 
 
 

ballade de Nowelle en moto 14déc2006

 
 
 
 
 
 
 
CITATION de mickeylemotard du forum des caramotards Modérateur
Voici le CR de @nn des Caramotards :
Joyeux Noël pour les motards dans la ville lumière !

La plupart d’entre nous a grandit dans un monde pas très joli à voir, où les guerres font rage en tout indifférence, où l’être humain détruit d’autres vies humaines au nom du profit, du pouvoir, pour plein de raisons qui font que l’on a envie de fuir cette réalité. Certains trouvent leur évasion dans des voyages, dans les livres, l’art, et d’autres à travers les paradis artificiels.
Nous, les motards, on trouve notre salut et notre bonheur au sein de notre passion : la moto. Parce que la moto n’est pas qu’un objet au cœur mécanique, sa pratique permet de rencontrer des gens, de se faire plaisir, de partager plein d’instants magiques.

Le partage….cette notion se fait de plus en plus rare aujourd’hui. Notre société moderne tend à faire croire que le bonheur c’est de vivre pour soi et de privilégier notre petite personne. Et bien nous les motards, malgré l’image faussée qui nous colle à la peau, et bien nous le partage et la solidarité nous font avancer.

Les instants magiques à moto on en a plein, que ce soit entre amis sur des routes, seul sur la piste, devant une vitrine présentant les nouveaux modèles…mais on en a aussi en partageant notre passion et en la rendant utile.

C’est ce qui s’est passé hier soir, ce 14 décembre 2006 où près de 1000 motards se sont réunis pour la traditionnelle balade de Noël à travers Paris, escortés par 2 Gendarmes motorisés qui nous ont accompagnés. Nous n’avons pas roulé juste pour nous, nous avions un but, cette année c’était de redonner le sourire aux enfants des Pupilles de Pompiers (le geste était symbolique et fait avec cœur par nous tous puisque nous tenions à les remercier de sauver nos vies ou d’accompagner celles de nos camarades qui s’éteignent) et aux enfants du Secours Populaire en leur offrant des cadeaux pour qu’eux aussi aient un Noël digne de ce nom. Parce que les motards ont un grand cœur et ils sont généreux. Coluche en est l’exemple le plus marquant.

Nous avons vécu une soirée magique. Une soirée dans l’année où presque tout nous est permis, puisque nous sommes des Pères et Mères Noël, des rennes, qui traversons la ville lumière pour admirer les décorations de Noël.
Nous en profitons pour saluer les passants qui d’ailleurs sont venus nombreux nous féliciter pour cette initiative !

C’est toujours un plaisir de croiser le regard plein de questions des gens.
Je revois ces visages, ces gens en pyjama qui n’osent pas regarder par la fenêtre et qui voyant qu’on les salue, nous saluent en retour. Ou ces vieilles dames au début apeurées par le bruit des motos, qui ensuite nous font de grands signes et de larges sourires. Notre balade c’est aussi saluer les gens dans les restaurants tous étonnés de voir autant de motos d’un coup, ou cette jeune femme qui marche le pas rapide, le regard dans le vague, qui presse le pas pour ne pas regarder ce qui se passe autour d’elle et qui finalement s’aperçoit que nous la saluons, et qui nous le rend. C’est ça notre balade de Noël ! Surprendre les passants !
Cette balade c’est aussi croiser les regards qui n’attendent plus rien de la vie de ceux qui dorment dehors en plein hiver, et qui ont plein d’étoiles dans les yeux en nous voyant passer et qui nous saluent en criant Joyeux Noël….et en faisant le V motard. Il doit être bien triste le leur de Noël. Nous après la balade on va rentrer au chaud chez nous…ces gens là n’ont plus de chez eux. Ils n’ont que la rue, et hier soir nous l’avons partagée avec eux. En leur offrant des sourires, et un peu d’attention, et le bruit de nos klaxons et moteurs que l’on faisait hurler !
Quartier après quartier nous découvrons les décorations, et toujours autant de passants ou de gens à la fenêtre nous saluant ! les gens en voiture aussi ! les taxis, les scooters, tous hier soir ont salué les motards ! tous ont eu ce regard d’enfant devant le sapin de Noël ! même les messieurs âgés roulant en Porsche ! peut être eux aussi un jour quand ils étaient petits ont-ils rêvé de faire de la moto ?

Je revois le visage déconfit de ce Monsieur très chic sur son balcon Avenue d’Iéna, nous regardant étrangement au départ, pensant que l’apocalypse était arrivée…et bien non ce ne sont que des motards gentils et polis qui l’ont salué, et il a esquissé timidement en retour (l’air tout timide et étonné) un geste de la main pour nous saluer en retour. Les réactions des gens sont parfois drôles, parfois spontanées et d’autres fois on dirait qu’ils bravent un interdit ! peut être que eux aussi rêvaient d’être motards quand ils étaient enfants, mais que la vie ne le leur a pas permis.
J’ai encore en mémoire les dames des quartiers chics dans leur smart, manteau en vison, faisant de grands gestes pour nous saluer ! cette dame dans son 4X4 en train de téléphoner et agitant ses bras pour nous saluer !

Je revois plein d’images de gens marchant dans la rue, parlant au téléphone, ou derrière leurs vitres nous regardant, nous saluant, ou souhaitant un Joyeux Noël.

Nous avons poursuivi notre route jusqu’au point de rendez-vous pour la remise des cadeaux : la Tour Eiffel…majestueusement dressée dans un petit brouillard, et magnifique illuminée de ses étoiles ! quelle vue ! c’est beau Paris la nuit ! on la regarde tous comme des gosses émerveillés, elle ressemble à une image de carte postale ! elle semble irréelle. Qu’est-ce qu’elle est belle ! les hommes sont parfois capables de grandes choses.

Instant d’autant plus magique….toutes les motos se sont alignées des deux côtés de la route…ça aurait fait une belle photo !
Chacun a apporté fièrement ses cadeaux au camion qui nous attendait.

Certains ont évidemment manifesté leur joie par un petit burn, d’autres en hurlant de joie !

Chacun a trouvé sa façon d’exprimer son bonheur et sa gratitude vis-à-vis des pompiers.

Nous déplorons que l’un d’entre nous ait achevé cette balade en allant s’encastrer dans une voiture, mais mis à part ce petit incident la balade s’est déroulée certes dans un concert de klaxonnes, de rupteurs et de burns, mais…sans problème majeur ! et c’est tout à notre honneur ! nous qui sommes souvent montrés du doigt, injustement jugés à nos dépends, les motards savent se comporter avec civisme et courtoisie vis-à-vis de tous.

Notre balade, l’espace d’un soir, a permis de réconcilier les passants, les motards, les scooters, les taxis, les gens en voiture, les personnes âgées, les jeunes et moins jeunes….on a distribué des souvenirs surprenants et des sourires dans le tout Paris le temps de quelques heures d’une nuit…

Et si c’était tout ça l’esprit de Noël ???

 
 
 
t as pas vu la TV "ParisCap" qui était là avant notre départ et qui a interviewé les caramotards 

Regards sur l’actualité

Etaient présents hier soir autour de Patrice Carmouze, Jean-Bernard Bros, adjoint au maire de Paris chargé du tourisme et président de la SNTE (société nouvelle de la Tour Eiffel), Serge Mery, vice-président de la Région en charge des transports et de la circulation, et Fabrice Vidal, président de la Fédération Française des Motards en Colère.
A cette occasion, le C à Paris posait son regard sur l’actualité de la capitale. Avec plus de six millions de personnes qui se pressent pour la contempler chaque année, la Tour Eiffel reste incontestablement La star parisienne. A tel point que son exploitation génère des enjeux économiques colossaux. Dernier en date, la concession des services de restauration à Alain Ducasse, le chef gastronome multi-étoilé, sur une période de 9 ans et, ce, dès le 1er janvier prochain.
Patrice Carmouze et ses invités ont tenté également d’analyser l’effrayant chiffre dévoilé cette semaine : 56 motards ont trouvé la mort dans des accidents de la circulation à Paris. C’est deux de plus qu’en 2005, alors que l’année n’est pas finie.
"Il arrive !" Enfin, à deux jours de son inauguration, petit coup de projecteur sur le nouveau
tramway du sud parisien. Soixante ans après son dernier trajet sur le boulevard des Maréchaux, le T3 va être fêté comme il se doit.
Au même moment, Alessandro di Sarno se trouvera au café Chambertin, 38 boulevard de Bercy d’où partira à 21h la 5e édition de la ballade de Noël des motards.

 

Y a un pti mot annoncant près de 1000 motards sur MJ sorti aujourd’hui….
Avec la référence aux dons aux oeuvres..cool déjà !!
 
 
Y a une brève dans MOTO JOURNAL DU 21/12/06 !!!!
 

Toi Qui Manques à Ma Vie

Que veux-tu, le temps nous a eus
Après ça, la vie continue
Tu m’as fait don
D’un sentiment d’abandon

Et qui devient
L’amour prison de détenus
L’amour poison qui s’insinue
Qui s’insinue…

Cette envie qui me manque
C’est simplement toi qui manques à ma vie
Les sentiments que je planque
C’est simplement toi qui manques à ma vie

Chaque nuit ça me flanque
Le sentiment que tu manques à ma vie
Et je me fais un sang d’encre
Pour t’écrire que tu manques à ma vie
Que veux-tu
Le temps est venu
De se dire "sans moi, continue"
J’te fais cadeau
De c’que j’ai de plus beau

Tout te revient
L’amour prison de détenus
L’amour poison qui s’insinue
Qui s’insinue…

Cette envie qui me manque
C’est simplement toi qui manques à ma vie
Les sentiments que je planque
C’est simplement toi qui manques à ma vie

Chaque nuit ça me flanque
Le sentiment que tu manques à ma vie
Et je me fais un sang d’encre
Pour t’écrire que tu manques à ma vie
A ma vie

 

Tu trouveras

Comme tout le monde j’ai mes défauts
J’ai pas toujours les mots qu’il faut
Mais si tu lis entre les lignes
Tu trouveras dans mes chansons
Tout c’que je n’ai pas su te dire

Il y a des fautes d’impression
Des "Je t’aime" un peu brouillon
Malgré mes accords malhabiles
Tu trouveras dans mes chansons
Tout ce que je n’ai pas osé te dire

{Refrain:}
Tu trouveras…
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j’n’avoue qu’à demi-mot
Mes faux pas mes maladresses
Et de l’amour plus qu’il n’en faut
J’ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j’en fais toujours trop
C’est pour qu’un peu tu me restes
Tu me restes

Il y en a d’autres que tu aimeras
Bien plus belles, plus fortes que moi

[Je leur laisserai bien sûr la place
Quand je n’aurai plus dans mes chansons
Plus rien à te dire en face
Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups]

Si je n’ai pas su te retenir,
Sache qu’il y a dans mes chansons
Tout c’que je n’ai pas eu le temps de te dire

Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups
Si je n’ai pas su te retenir,
Sache qu’il y a dans mes chansons
Tout c’que je n’ai pas eu le temps de te dire

{au Refrain: x3}
Tu trouveras…
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j’n’avoue qu’à demi-mot
Mes faux pas, mes maladresses
Et de l’amour plus qu’il n’en faut
J’ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j’en fais toujours trop
C’est pour qu’un peu tu me restes
Tu me restes.

 
 

L’amour emporte tout

Qu’on me parle de guerre
Sans qu’on la fasse encore
Qu’on me montre la mer
L’amour qui rentre au port

Qu’on me laisse le temps
De faire n’importe quoi
De faire n’importe quand
Cet amour qu’on me doit

Et du ciel qui t’envoie
Qu’on me dise qu’il est bleu
Puisque c’est toi pour moi
Et qu’à ce petit jeu

{Refrain:}
L’amour emporte tout
Les forts comme les fous
L’amour ne laisse rien
Au hasard d’une main
+
L’amour emporte tout
Les anges et les jaloux
L’amour ne laisse rien
Pas même le chagrin
+
L’amour emporte tout…
L’amour emporte tout…

Qu’on me parle de vivre
Pour celui qui me croit
Pour celui qui me livre
Son dernier combat

Qu’on me dise mes droits
Je saurai faire avec
Le coeur au même endroit
Même pas peur de l’échec

Et du ciel qui t’envoie
Dis moi ce que tu veux
Tu sais ce qu’on y voit
Je sais ce qu’on y veut
Ce qu’on y veut

{au Refrain}
L’amour emporte tout… {x2}

Je te souhaite

Je te souhaite les étoiles
Je te souhaite la lumière
Et tout le bien sans le mal
Que je n’ai pas su te faire

Je te souhaite des voyages
Je te souhaite de partir
Vers les plus beaux paysages
Que je n’ai pas su t’offrir

Je te souhaite d’être heureux
Et tellement d’être aimé
D’en prendre tout ce que tu peux
Et autant que tu m’as donné

Je te souhaite tellement fort
Je te souhaite trop d’amour
Prends la vie à bras le corps
Puisque les miens sont trop courts

Je te souhaite de garder
A jamais mes 20 ans
Sans t’arrêter de rêver
Comme je l’ai fait trop longtemps

Je te souhaite tant de rires
Je te souhaite tant de temps
De fuir avant d’en souffrir
Ce que je n’ai pas su comprendre

Je te souhaite d’être heureux
Et tellement d’être aimé
D’en prendre tout ce que tu peux
Et autant que tu m’as donné

Je te souhaite tellement fort
Je te souhaite trop d’amour
Prends la vie à bras le corps
Puisque les miens sont trop courts
Sont trop courts

Je te souhaite d’être heureux
Et tellement d’être aimé
D’en prendre tout ce que tu peux
Et autant que tu m’as donné

Je te souhaite tellement fort
Je te souhaite trop d’amour
Prends la vie à bras le corps
Puisque les miens sont trop courts

Je te souhaite tellement fort
Je te souhaite trop d’amour
Prends la vie à bras le corps
Puisque les miens sont trop courts
Sont trop courts

 
 

Mourir demain

Il y a ceux qui prendraient un avion
D’autres qui s’enfermeraient chez eux les yeux fermés
Toi, qu’est-ce que tu ferais ? {x2}
Il y en a qui voudrait revoir la mer
D’autres qui voudraient encore faire l’amour
Une dernière fois
Toi, tu ferais quoi ? … et toi, tu ferais quoi ?

Si on devait mourir demain
Qu’est-ce qu’on ferait de plus,
Qu’est-ce qu’on ferait de moins
Si on devait mourir demain
Moi, je t’aimerai… moi, je t’aimerai

Il y en a qui referaient leur passé
Certains qui voudraient boire et faire la fête
Jusqu’au matin
D’autres qui prieraient… {x2}
Ceux qui s’en fichent et se donneraient du plaisir
Et d’autres qui voudraient encore partir
Avant la fin
Toi, qu’est-ce que tu ferais ? … et toi, qu’est-ce que tu ferais ?

Si on devait mourir demain
Qu’est-ce qu’on ferait de plus
Qu’est-ce qu’on ferait de moins
Si on devait mourir demain
Moi, je t’aimerai… moi, je t’aimerai… Je t’aimerai

Et toi, dis moi, est ce que tu m’aimeras
Jusqu’à demain et tous les jours d’après
Que rien, non rien, ne s’arrêtera jamais
Si on devait mourir demain
Moi, je t’aimerai… moi, je t’aimerai
Est-ce qu’on ferait du mal, du bien
Si on avait jusqu’à demain
Pour vivre tout ce qu’on a rêvé
Si on devait mourir demain
Moi, je t’aimerai… moi, je t’aimerai

 
 
 

Tant que c’est toi

Je ne sais jamais si tu vas venir
Quand je t’attends je peux m’attendre au pire
Je ne sais jamais si c’est un retard
Ou si c’est moi qui invente une histoire

Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Peux-tu te rendre comme je le fais sans jamais être là à t’attendre

{Refrain:}
Tant que c’est toi
D’un bout à l’autre
Ou l’autre à tout moment qui attendra
Tant que c’est toi
D’aller l’un vers l’autre
Peut importe le temps que ça prendra

Tant que c’est toi

Je ne sais jamais si tu prends ton temps
Ou le mien que tu perds inutilement
Penses-tu qu’il faille que je regrette
Ce parcours du combattant

Peux-tu comprendre le chemin que c’est d’attendre
Et d’en dépendre, serais-tu prêt sans jamais être là à t’attendre

{au Refrain}

Et si tu prenais peur, qu’un doute m’effleure
Qu’j’me sois trompée d’endroit et d’heure
Qu’il ait le doute mais c’est trop tard

{au Refrain}

Tant que c’est toi…

 
 

Grandir c’est dire je t’aime

Quand viennent pleurer tes soirs de solitude
Quand l’absence d’amour vient détruire tes rêves
Tu ressens chaque jours l’ennui qui se lève
Ton coeur t’avait promis la lune
Il a la fièvre…

Qui peut grandir sans dire je t’aime
Et tout changer dans ses veines
Qui peut retrouver les gestes
Et tout l’amour qu’il nous reste

Qui pourra vivre ses réveils
Sans personne dans son sommeil
Laisse ton coeur être lui-même
Grandir, c’est dire je t’aime…

Tu as longtemps dormi sur tes chagrins
Mais un beau matin, tu te lèves enfin
L’amour qui t’a donné la vie, revient
Ton coeur t’avait promis la lune
Il la retient…

Qui peut grandir sans dire je t’aime
Et tout changer dans ses veines
Qui peut retrouver les gestes
Et tout l’amour qu’il nous reste

Qui pourra vivre ses réveils
Sans personne dans son sommeil
Laisse ton coeur être lui-même
Grandir, c’est dire je t’aime…

Mais il faut garder l’espérance
De ces matins où tout commence
Où tout commence, où tout commence

Qui peut grandir sans dire je t’aime
Et tout changer dans ses veines
Qui peut retrouver les gestes
Et tout l’amour qu’il nous reste

Qui pourra vivre ses réveils
Sans personne dans son sommeil
Laisse ton coeur être lui-même
Grandir, c’est dire je t’aime…